AFGHANISTAN : Garçons (10-13 ans) à Vendre
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AFGHANISTAN : Garçons (10-13 ans) à Vendre
Sur France5, Mardi 28 septembre, à 20.35 (heure française), 18.35 (heure marocaine), sera diffusée une émission intitulée La danse des Garçons Afghans. Voici l'article que lui consacre Le Monde des Télévisions :
Signe particulier de richesse, pour un potentat afghan ? S'être acheté un garçon des rues de 10 13 ans, grand et beau, pour en faire son objet de plaisirs.
De plus en plus d’hommes de pouvoir afghans, souvent anciens chefs enrichis par la guerre, s'enorgueillissent aujourd'hui d'être accompagnés d'un garçon à qui ils font apprendre la danse et le chant pour l’offrir en spectacle, vêtu et maquillé en fille, lors de soirées et fêtes exclusivement masculines... et en abuser sexuellement.
Le journaliste afghan Najibullah Quraishi et l'auteur-réalisateur britannique Jamie Doran, multiprimé, mènent ici l'enquête sur la généralisation de cette « coutume » venue du Pakistan et qui, depuis le nord de l'Afghanistan, se répand peu à peu dans le pays. Malgré l'interdiction officielle des talibans et l’illégalité de ce trafic humain. Le phénomène est si connu que ces gamins de la misère sont tous dénommés « basha bereesh » (« garçons imberbes »), et que des cassettes vidéo ou DVD de ces jeunes en train de danser se vendent un peu partout sur les trottoirs de la capitale.
Le tour de force du journaliste et du réalisateur de La Danse des garçons afghans (Clover Films) est d'avoir pu suivre, face caméra, sans floutage, un ancien commandant de l'armée afghane qui consomme ainsi des jeunes garçons depuis vingt ans... Et qui emmène les auteurs du documentaire vers d'autres individus fortunés, eux aussi amateurs de ce genre de jeunes esclaves. Corruption généralisée, violences, viols, meurtres, impunité : tout, à leurs yeux, semble des plus normal !
Martine Delahaye
[Source : Le Monde Télévisions, 27 septembre-3 octobre 2010)
Signe particulier de richesse, pour un potentat afghan ? S'être acheté un garçon des rues de 10 13 ans, grand et beau, pour en faire son objet de plaisirs.
De plus en plus d’hommes de pouvoir afghans, souvent anciens chefs enrichis par la guerre, s'enorgueillissent aujourd'hui d'être accompagnés d'un garçon à qui ils font apprendre la danse et le chant pour l’offrir en spectacle, vêtu et maquillé en fille, lors de soirées et fêtes exclusivement masculines... et en abuser sexuellement.
Le journaliste afghan Najibullah Quraishi et l'auteur-réalisateur britannique Jamie Doran, multiprimé, mènent ici l'enquête sur la généralisation de cette « coutume » venue du Pakistan et qui, depuis le nord de l'Afghanistan, se répand peu à peu dans le pays. Malgré l'interdiction officielle des talibans et l’illégalité de ce trafic humain. Le phénomène est si connu que ces gamins de la misère sont tous dénommés « basha bereesh » (« garçons imberbes »), et que des cassettes vidéo ou DVD de ces jeunes en train de danser se vendent un peu partout sur les trottoirs de la capitale.
Le tour de force du journaliste et du réalisateur de La Danse des garçons afghans (Clover Films) est d'avoir pu suivre, face caméra, sans floutage, un ancien commandant de l'armée afghane qui consomme ainsi des jeunes garçons depuis vingt ans... Et qui emmène les auteurs du documentaire vers d'autres individus fortunés, eux aussi amateurs de ce genre de jeunes esclaves. Corruption généralisée, violences, viols, meurtres, impunité : tout, à leurs yeux, semble des plus normal !
Martine Delahaye
[Source : Le Monde Télévisions, 27 septembre-3 octobre 2010)
Dernière édition par Stonewall le Lun 27 Sep - 10:28, édité 1 fois
Re: AFGHANISTAN : Garçons (10-13 ans) à Vendre
Voilà la "civilisation" qui met en danger la paix du monde !
Ce qui me frappe, et me choque, le plus dans cette pratique, c'est que si, au quotidien, un citoyen afghan souhaitait vivre une vie sociale normale avec un compagnon (évidemment majeur et consentant) de son sexe, il ne pourrait le faire, et serait immédiatement montré du doigt, accusé, arrêté, condamné, peut-être exécuté !
On assiste donc là, dans tous les sens du mot, à une perversion de ce qui devrait être beau et juste : dans le contexte malade de l'actuel Afghanistan, une relation avec une personne de même sexe n'est imaginable que dans la perversion et l'asservissement… " La destruction du meilleur est ce qu'il y a de pire ", écrivait Sénèque.
Si l'on doit en croire Khalid Hosseini dans son très beau roman Les Cerfs-Volants de Kaboul, où il y consacre un chapitre dramatique et émouvant, cette "coutume", et malgré l'interdiction dont il est question ici, semble avoir été prisée par les talibans eux-mêmes. En effet, dans ce chapitre, le narrateur retourne en Afghanistan pour arracher le fils de son ami de jeunesse des griffes d'un ancien voyou opportunément reconverti en chef taliban, qui a précisément réduit cet enfant au statut d'objet sexuel…
Ce qui me frappe, et me choque, le plus dans cette pratique, c'est que si, au quotidien, un citoyen afghan souhaitait vivre une vie sociale normale avec un compagnon (évidemment majeur et consentant) de son sexe, il ne pourrait le faire, et serait immédiatement montré du doigt, accusé, arrêté, condamné, peut-être exécuté !
On assiste donc là, dans tous les sens du mot, à une perversion de ce qui devrait être beau et juste : dans le contexte malade de l'actuel Afghanistan, une relation avec une personne de même sexe n'est imaginable que dans la perversion et l'asservissement… " La destruction du meilleur est ce qu'il y a de pire ", écrivait Sénèque.
Si l'on doit en croire Khalid Hosseini dans son très beau roman Les Cerfs-Volants de Kaboul, où il y consacre un chapitre dramatique et émouvant, cette "coutume", et malgré l'interdiction dont il est question ici, semble avoir été prisée par les talibans eux-mêmes. En effet, dans ce chapitre, le narrateur retourne en Afghanistan pour arracher le fils de son ami de jeunesse des griffes d'un ancien voyou opportunément reconverti en chef taliban, qui a précisément réduit cet enfant au statut d'objet sexuel…
Re: AFGHANISTAN : Garçons (10-13 ans) à Vendre
Ils exploitent à tort et à travers l'innocence de ces jeunes garçons pour en faire leur jeu favori..
Je vous approuve, Stonewall, c'est de la pure perversion.
Ce phénomène m'a vraiment capté , j'ignorais que telles pratiques, si cruelles qu'elles le sont, existent en Afghanistan.
Quand la liberté sexuelle n'est pas hautement exprimée dans un pays, quand l'éducation sexuelle fait défaut, ce sont ces situations qui en découlent subséquemment.
Je vous approuve, Stonewall, c'est de la pure perversion.
Ce phénomène m'a vraiment capté , j'ignorais que telles pratiques, si cruelles qu'elles le sont, existent en Afghanistan.
Quand la liberté sexuelle n'est pas hautement exprimée dans un pays, quand l'éducation sexuelle fait défaut, ce sont ces situations qui en découlent subséquemment.
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